mardi 22 décembre 2009

Wassyla Tamzali, un agent au service de l'ingénierie sociale.

Wassyla Tamzali : 9, rue du Perche                                                                                   

75003 – PARIS-FRANCE                                                                                                 

E-Mail : wassyla.tamzali@wanadoo.fr                                                                                                                                                                                                                 CV:
Née en Algérie en 1941, elle a exercé de 1966 à 1977 le métier d’avocate à la
Cour d’Alger et mené parallèlement des activités journalistiques et culturelles.

Wassyla Tamzali a 20 ans en 1962, au moment de l’indépendance de l’Algérie. Elle est issue d’une famille de notables, riches propriétaires (juifs connus bien sur !) de pressoirs commerçant l'huile avec l’étranger. Ses ancêtres paternels (Sepharades !) viennent de l’empire Ottoman. Sa mère est espagnole (pas catholique en tout cas !). Sa jeunesse ne lui a laissé que des souvenirs de bonheur et de soleil (malgré la sentence du FLN contre son père ?). La guerre, l’indépendance, puis la réforme agraire et la nationalisation des propriétés familiales vont tout changer (en bon  socialiste, on partage les idées mais pas le fric !).
Tout bascule en 1957, le jour où son père est assassiné par une toute jeune recrue du FLN. Le livre s’ouvre sur ce drame et se ferme à l’issue de l’enquête de toute une vie sur le « pourquoi » de ce meurtre. Pour l’auteur, l’assassinat du fils aîné d’une famille qui, bien qu’algérienne (mais pas Arabe ni Musulmane !) dominait la ville, habitait une ferme coloniale et vivait « à la française » ne pouvait avoir qu’une signification : la revanche des tribus.
La mère de Wassyla décide malgré tout de rester à Alger (agent "dormant" du sionisme) plutôt que de choisir l’exil : « Mes enfants auront une éducation algérienne ! ». 
Wassyla Tamzali s’enthousiasme alors pour la construction de l’Algérie nouvelle, fréquente le petit monde en ébullition de la Cinémathèque d’Alger, participe aux élans de la révolution, avant de céder devant les désillusions du socialisme réel et la répression et de choisir l’exil à Paris, (pour la fusion Ashkhenazi-sepharadi ) où elle rejoint l’Unesco .(parachutage pour services rendus et préparation pour les missions futures à accomplir)
Pendant vingt ans, l’auteur y mène de nombreux combats pour les droits des femmes, dont elle devient une porte-parole estimée (par ses coreligionnaires ?).


  L’intérêt de ce récit est qu’on y voit, à travers le regard d’une femme à l’ardeur communicative (elle est avocate pas pour rien), un pays souffrir de blessures historiques dont on ne sait si elles sont guérissables. L’analyse politique y est en permanence irriguée par un amour  profond de ce pays, malgré les drames et les dépossessions subies, à commencer par l’assassinat du père , suivi de l’expropriation des terres familiales (plus vraisemblablement vengeance que patriotisme) et de la défaite progressive des idéaux politiques (socialisme des coreligionnaires Trotsky-Lenin ?).



Wassyla Tamzali livre ainsi ce qui ne se veut pas l’histoire de l’Algérie, mais son histoire avec l’Algérie.
 Rédactrice en chef du premier hebdomadaire maghrébin libre «contact» (1970-
1973) (les média, le nerf de la guerre des Rothschilds contre l'humanité), elle est auteur d’un livre (1975) sur le cinéma maghrébin qui est un plaidoyer
pour la liberté d’expression (un autre volet des protocoles) « En attendant Omar Guetlato », et un ouvrage d’art sur la parure des femmes berbères ‘’Abzim’’, un hommage à la créativité des femmes de son pays (1986).
En 1979, elle rejoint la fonction publique internationale à l’UNESCO où elle est
chargée du programme sur les violations des droits des femmes au sein de la
division des Droits de l’Homme et de la Paix, et entre autres questions, des dossiers
sur l’égalité en droit des femmes et des hommes et de la violence contre les femmes
– Son rôle dans la lutte (féminisme guerrier par proxy)  des femmes originaires des pays de culture islamique (pour y semer ses fetwas et diffuser son prosélytisme d'athée), ainsi que dans la lutte contre la prostitution et le trafic des femmes elle est reconnue tant par le monde associatif que par les décideurs (ceux de l'ombre ? Les banquiers kosher ?).
En 1989 elle rejoint le Front des Forces Socialistes et occupe des fonctions
dans les instances dirigeantes de ce parti (en coordination avec tonton Hocine qui suit un régime au chocolat à Genève, depuis 1963 !).
En 1991, dans le cadre de la préparation de la 4ème Conférence mondiale des
femmes des Nations unies de Beijing, elle organise la participation de l’UNESCO au
Forum des ONG’s de cette conférence. Elle conduit les activités portant sur la lutte
contre l’exploitation sexuelle des femmes, le Parlement des Femmes dans les pays
islamiques, les violences contre les femmes algériennes dans le cadre de la guerre
civile (en boxe, on l'appelle shadow boxing) que connaît le pays. etc.
En 1992, elle est membre fondateur du Collectif Maghreb Egalité
Dès 1992, elle participe au mouvement des femmes balkaniques pour la paix
et le respect des différentes cultures dans la région – Elle apporte son appui et son
aide à toutes les initiatives entreprises par l’Association inter-balkaniques des
femmes pour la paix, et contribue à l’ouverture du Centre UNESCO pour les
‘’Femmes pour la Paix’’ dans les Balkans à Thessaloniki (Grèce). En 1995, elle est
chargée de rédiger le rapport de l’UNESCO sur « le viol comme arme de guerre, eu
égard à la situation en Bosnie-Herzégovine»
(ceci après que les crimes aient été programmés par ses cousins de Washington,  Clinton) qui a été présenté à la 4ème Conférence
Mondiale des Femmes à Beijing, et elle entreprend dans ce pays de nombreuses
missions pour le respect de la pluralité culturelle, l’aide aux victimes et la lutte pour
les reconnaissances et le respect es droits de l’homme (qu'elle jette un coup d'œil du coté de Gazza pour faire avancer sa carrière !).
En 1996, elle est nommée Directrice du Programme de l’UNESCO pour la
Promotion de la condition des femmes de la Méditerranée. A ce titre, elle engage
de nombreuses activités concernant l’égalité et la participation des femmes des pays
du sud (la cible est la femme musulmane !). La coopération trans-méditerranéenne au bénéfice des femmes est l’axe principal de ce programme. Elle crée ainsi le Forum des Femmes de la Méditerranée, le Festival de Thessalonique ‘’Femmes créatrices deux mers : la mer Noire et la mer Méditerranée’’, le Réseau des Villes «Les Plazzas Méditerranéennes
pour les femmes et la Paix» (l’organisation de concours d’architecture ouverts aux
femmes), et elle lance un programme inter-universitaire sur l’histoire méditerranéenne des femmes : ‘’Les transversales (une nouvelle version du Kamasutra ?) : Histoire et histoires des femmes de la Méditerranée’’.
En janvier 1999, lors de la commémoration du Xème anniversaire de la
Conférence Globale organisée contre l’exploitation sexuelle mondiale à Dhaka,
Bangladesh, elle reçoit le ‘‘LIFETIME ACHIEVEMENT AWARD ’’ d’Aurora Javate de
Dios, Présidente - Board of Directors de ‘‘COALITION contre le Trafic des Femmes’’,
« en guise de remerciement et reconnaissance de ses inlassables et
courageux efforts (sur les champs de bataille des guerres talmudes contre l'humanité), de l’impulsion qu’elle donne et de la contribution qu’elle apporte à
la lutte contre le système mondial d’exploitation sexuelle
(il est connu que les ,réseaux sont contrôlés par ses coreligionnaires, aussi elle n'a pas eu à regarder trop loin !) et d’esclavage de création d’un monde (le NOM, dictature juive ?) ou chacun et chacune pourront jouir des droits humains fondamentaux à la dignité et à l’égalité. »
En 1999, elle est citée au grade de Chevalier dans l’Ordre National du Mérite par le Premier Ministre de la République française, Lionel Jospin ( encore un qui porte la Kippa ).
En février 2000, lors de la Séance académique de l’Université Libre de
Bruxelles, lui ont été remis le titre et les insignes de Docteur Honoris Causa.
En 2001 elle est élue vice présidente du Forum international des Femmes
de la Méditerranée.
En 2001 elle enseigne à l’institut de la femme à Valencia sur le dialogue des
cultures et les droits de la personne humaine, notamment les droits des femmes.
Dans cette même ville elle est chargée de préparée le Forum civil euro
méditerranéen, et animatrice du groupe de travail sur les droits des femmes. Un
réseau euro méditerranéen des droits des femmes est crée qu’elle coordonne. En
2002 et 2003 elle sera chargée de participer aux organisations des prochains forum
civil dans des instances mises en place par la communauté européenne.
En 2001, elle crée et est co-animatrice du Circulo medIterranéo, de
Madrid, espagneun cercle de pensée qui se réunit tous les ans à Madrid et débat
devant le public des questions de relations et de coopération transméditerranéenne.
De 1996 jusqu’à 2003 elle participe activement aux Forum Civils Euromed, et
est tout particulièrement chargée des rencontres de femmes et du dialogue des
cultures. Elle est également membre du Réseau Euro méditerranéen des droits

de l’homme.
Octobre 2004, elle reçoit le prix du Centre Pio Manzu pour son engagement
et sa persévérance dans la lutte des femmes et le dialogue culturel (Italie, Rimini)
2004 Membre de la commission de l’association des amis du Manifeste
des libertés.
(Le Manifeste des libertés, voir la liste alphabétique, (ici !!!!!), vous découvrirez la nébuleuse internationale Kosher, plus quelques idiots "goyim" utiles, qui activent de tout leur coeur en faveur des droits en pays d'Islam ! 
Leur nombre important est pratiquement la réfutation mathématique de la shoah - le

mythe du génocide nazi.

Incroyable mais vrai ! L'amour et la compassion de ce ramassis d'athés -laiques-socialistes-libéraux-tolérants de façade, envers les femmes arabes et musulmanes, 
y sont si intenses qu'ils les inondent du Machrak au Maghreb et doivent rendre  leur mari  fou de jalousie !
Les "amis" du manifeste ont un trait dominant, celui d'appartenir à la juiverie maghrébine en mal de nostalgie et qui professent leurs meilleurs sentiments pour les pays qu'ils placent dans le collimateur du sionisme-talmudisme international.
Je recommande vivement la visite des "Amis du manifeste", pour y trouver la l'illustration  de mon argumention concernant les armes de destruction massive soft que  j'élucidais ici "lien"



2005, responsable des actions société civile et communication de la                             
Fondation Mediterraneo, Naples, Italie                                                                                                    

2005, membre du comité d’organisation du 10éme Congrès Mondial des tudes féministes, le thème central de ce congrés sera les migrations, et elle est chargée de la région méditerranéenne.                                                                                                                      

(Quel palmarés !  Un prix Nobel clôturerait sa mission humanitaire !   Sauf que dernièrement, le comité a attibué à Obama plus de bons points pour ses action humanitaires  retentissantes exercées au profit de la nation arabo-musulmane ! Il lui faudra attendre que ses actions à elle se concrétisent de manière plus percutante et que l'Algérie soit totalement dépeuplée pour mériter de récolter le prix ! ( $$$$) )       

Je réserve une page  à l'étude des techniques perfides employées par ces agents du génocide au lien suivant : 

" Génocide contre l'humanité, ldéologie sournoise  des ONG."                                       

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